Présentation

Présentation

L’en­ga­ge­ment béné­vole est à la base du sauve­tage en mer depuis l’ori­gine des socié­tés de sauve­tage. Il fonde les valeurs de la SNSM, faites de dévoue­ment, de bravoure, de courage, de soli­da­rité et d’en­ga­ge­ment au service des personnes en danger en mer.

Deve­nir membre de la SNSM est un enga­ge­ment fort et gratuit au service de la sauve­garde des vies humaines en mer et sur le litto­ral.

Est béné­vole toute personne qui s’en­gage libre­ment pour mener une action non sala­riée en direc­tion d’au­trui, en dehors de son temps profes­sion­nel et fami­lial.

C’est une adhé­sion, sans aban­don de liberté, sans risque d’en­fer­me­ment dans un enga­ge­ment qui ampute la vie privée.

Le fait d’en­trer à la SNSM, c’est vivre en équipe, vivre avec des gens qui deviennent, pour certains, des amis très proches, une deuxième famille.

Le béné­vo­lat est une combi­nai­son de 3 ingré­dients :

  • Le Sens : il faut que cet enga­ge­ment ait un sens, un vrai sens qui permette de donner vie à cet enga­ge­ment
  • L’Uti­lité : être sur que ce que l’on fait soit utile, utile pour les autres
  • Et le Plai­sir : le plai­sir de parta­ger ses connais­sances, son expé­rience, son temps

Sans béné­vole pas d’as­so­cia­tion ! Le béné­vo­lat est une richesse qu’il faut faire vivre.

Pour main­te­nir ce béné­vo­lat irrem­plaçable du sauve­tage en mer, il est indis­pen­sable de four­nir aux sauve­teurs un envi­ron­ne­ment opéra­tion­nel de qualité en équi­pe­ments, en moyens d’in­ter­ven­tion et en forma­tion.  Mais cela a un coût. 

La prin­ci­pale entrave des sauve­teurs en mer reste le finan­ce­ment. 

Nous passons beau­coup de temps, je dirai trop de temps à la recherche de finan­ce­ment.

La Société Natio­nale de Sauve­tage en Mer, reste une société de gens bien­veillants et est admi­nis­trée comme une asso­cia­tion de loi 1901, dont la respon­sa­bi­lité première est le sauve­tage, à titre gracieux, des personnes en danger en mer, quels que soient les moyens mis en œuvre.

Merci à tous ceux qui nous aident déjà, soyez prudent en mer et sur le litto­ral, n’ou­bliez pas que la mer aura toujours le dernier mot.